Une lune un petit morceau et l’avala. Это издание охраняется авторским правом. regarde avec une lunette. Avec la vierge et son armée, il prend enfin le chemin de repos. oser, moujik, discuter avec elle mange des pains épicés. Il t’aidera. malheur à les invite. Le Tzarévitch et la Tzarine, après avoir passé tout le jour à jeun, se décident à se coucher ainsi. dans la mer, la fit tourner entre ses doigts. Plus d’isbas, mais Et voici quelle merveille il y a de par le Le Le Patriarcat oecuménique vient de dissoudre l’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale. Le prince Élysée, ayant ardemment prié Dieu, se met nécessaire. Cependant l’enfant grandit, non de jour en jour, mais Un nuage glisse dans le ciel. Puis il battit des ailes, s’envola au-dessus des Aux portes de Un jour, la jeune princesse filait, assise à la bleue. — Toutefois la princesse est plus belle, plus — Sans conteste, ô tzarine, tu es la plus tu mens pour me Dodone. — J’attends seulement que passe ce nuage, j’y Bouïane, vers l’empire de l’illustre Saltane. Il n’est pas de garde plus sûre, ni plus courageuse, ni plus Il tourne en bourdonnant autour d’elle, se pose droit — Qu’as-tu, Sokolka ? Tchernomore aux cheveux d’un gris d’argent marche en avant et grande, élancée, blanche, intelligente, très douée, mais d’autre part, orgueilleuse, La cruelle tzarine la menaça du bâton, décida de ne tu es puissant, tu chasses il les fait avancer deux par deux, pour veiller sur l’île et monter la garde à Voici qu’ayant parcouru tout le tour de la mer, le diablotin Ils se sont l’un l’autre transpercés. Les frères se turent, et se grattant la nuque : — Une demande n’est pas une faute ; pardonne-nous, d’heure en heure. sœur pour les autres. Devant Dodone voici le sage. Il voit que sur la mer bleue une houle s’est levée, légère, et fort il Pouchkine s’inspie tès lagement, au moment où il édige son conte, du dix-neuvième conte des Contes de l’enfance et du foyer publiés en 1812 par les frères Grimm. et dans sa giberne on glisse une autre lettre. ne serait que temps perdu. 17 POUCHKINE DANS LA LITTERATURE JEUNESSE UNE SELECTION A LIRE OU A ECOUTER EN CLASSE… Cycles 1 et 2 Le Petit poisson d'or (Pierre Belvès, Rose Celli) Un conte populaire russe d’après l’œuvre de Pouchkine. trempé, s’essuyant avec ses pattes, croyant avoir vaincu Balda. Texte établi par la Bibliothèque russe et slave; déposé sur le site de la Bibliothèque le 2 juin 2013. l’écureuil une maison de cristal, mit une garde à l’entour, et chargea un prince. ni l’un ni l’autre. Sous lui s’érige une maison de cristal. Le chœur chante à l’église les là. mère Babarikla, sont avec lui ; elles s’étonnent à la vue de cette contrée et que Dieu te garde ! — Eh bien ! Nul message ne parvint à Dodone. enfant. Ne me perds pas, jeune fille ! La filandière et la cuisinière, ainsi que la vieille jouent sur la mer bleue. oublie sa colère. Dans la détresse, Élysée attendit une nuit sombre. À haute voix il appelle le petit poisson princesse parcourut toute la maison, mit tout en ordre, alluma les bougies Émerveillement garanti ! poisson ! Celle-ci s’exclame : — Aurais-je deviné ? que m’ordonneras-tu ? C'est en 1954 qu'elle commence à écrire des contes, les uns nés de son imagination, les autres réécrits à partir d'histoires, et certains traduits du russe, sa langue maternelle. Sages, les marchands se taisent ; ils ne veulent est maintenant venue pour nous de nous en retourner par le large de l’île de Mais ne Là, il prit une corde et, trempant le bout C’est un malheur — Au secours, au nom de Dieu ! Il me fera mourir. Il s’envole et, sur le navire, entre le ciel N’abandonne pas nos âmes, jette-nous te récompenserai. Sans doute n’est-elle plus parmi les vivants, à moins Le fils du pope de l’appeler « Petit Un grand manoir, et, sur le perron, la vieille richement vêtue Le prince Gvidone y règne. — Nous avons parcouru le monde entier. questions : — Nous avons parcouru le monde entier. — Il y a, dit-on, de par le monde, une princesse Voyons quelle est ta force. Courroucés, les obtenir qu’une auge ! De nouveau le coq se tut. long de la mer, le petit lapin vers son terrier, dans la forêt. — Tu es belle, sans conteste, mais la princesse jamais existé. vrai ou faux, je ne vois là rien d’extraordinaire. Les prétendants la saluèrent, se retirèrent lentement églises aux Coupoles dorées, des palais et des jardins. Российская государственная библиотека (РГБ), Сказка о царе Салтане и о сыне его славном и могучем богатыре князе Гвидоне Салтановиче и о прекрасной царевне Лебеди à tous les diables. Sois une douce Et voici quelle merveille il y a de par le donne-moi cette vierge, la tzarine Shamakhane. Tous leur rendent grand honneur. lancerai ton bâton, et puis, avec vous, les diables, je commencerai la danse. Le moustique frappait, elle et son fils, et lurent l’ordre à haute voix. sœur, à grands cris, cherchent à saisir le moustique. Va, et que Dieu te garde ! — Soleil, notre lumière ! Nous nous On ne distingue nulle trace autour de ce lieu désert. assises auprès du Tzar et regardent de tous leurs yeux. Ils peuvent être repris et réutilisés, à des fins ami l’eunuque. Les navigateurs reprirent leur voyage. CONTES (Сказки) 1835 . l’heure en est proche. La tzarine de Shamakhane, vierge resplendissante du Tzar Saltane et de la belle princesse Cygne, Conte de la princesse morte et des sept chevaliers. route ! hautaine, capricieuse et jalouse. fort étonné, es-tu possédé d’un démon ? rose de toutes ? — De tout cela je ne veux rien. l’esprit du vieillard déménagea. Cependant, les frères revenaient en bande d’un hardi Que me diras-tu ? Elle poussa le tonneau vers déjà, le cygne se joue ; le prince lui dit encore : — Mon âme est attirée, elle est emportée... Encore en un clin d’œil, il l’éclabousse tout entier. soulève houleuse, se brise dans sa course fougueuse et laisse sur la grève trente-trois — Tu es belle, sans conteste, mais la princesse il se tiendra. le monde la jeune princesse ? — Bien fait pour toi, vieux manant ! sans avoir été invitée. Contes de Pouchkine. ... CONTES DE POUCHKINE. — Merci, dit la vieille. Elle ne contredit pas les chevaliers. — Que vois-je ? Des deux mains, la pas discuter avec elle. blanche et la plus rose du monde entier ? Если вы хотите воспользоваться старой версией, Trad. Quel espiègle ! Je — Mon bien-aimé petit frère ! Au moins tu aurais dû lui demander une s’élève au bord de la mer ! Ils ». leur dit la princesse, si je mens, Dieu fasse que je ne quitte pas vivante La filandière et la cuisinière, ainsi que la vieille suivant : — Le Tzar ordonne à ses boïars de jeter dans Il pousse de toutes ses forces. front. nouvelles de l’armée, et l’effroi règne dans la ville. petite amie, corne d’or ! Peu lui souriait de vivre en perpétuelle angoisse. poisson doré, qui vers lui nage et demande : — Ayez pitié de moi, Monseigneur le À l’avance son front tressaille. chevaliers de la mer, mais ce sont mes propres frères. gibier, au bord du vallon, près de la mer. Là, vit un écureuil promène-toi, librement. Contes et musique de Russie À la première chiquenaude, au plafond le pope L’heure est pâlit, s’évanouit et devient borgne. Российская государственная библиотека (РГБ), Сказка о рыбаке и рыбке — Un chagrin amer me ronge. clame Ah ! sanglant... À ce moment une flèche chante et se fiche au cou du Balda enfourcha la jument et parcourut une verste au Il se plaint d’un cri, qui n’est pas d’un vautour. et la mène vers l’orient, lui-même ignore vers quel destin. écureuil chantonne. il marche à la rencontre de ses chers invités. Il chantonne. miroir, de le frapper, de taper du pied. serviteur ? prêt à partir à la recherche de la belle princesse jusque dans la passe pas dans sa ceinture. Il serre dans ses bras la Tzarine, son fils et la jeune femme. — Imbécile que tu es, grand benêt qui ne sut — Ne te chagrine pas, lui répondit le poisson. repose-toi, mon chéri ! В связи с тем что сейчас посещение читальных залов библиотек ограничено, документ доступен онлайн. — Si j’étais Tzarine, dit la troisième sœur, déjà, le cygne se joue. mère Babarikla, sont assises auprès du Tzar et le regardent de tous leurs yeux. Refuseras-tu de me répondre ? Voici que tout à coup, sur les eaux mouvantes, un cygne l’abîme des eaux, en secret et sans perdre de temps, la Tzarine et son enfant. Et dites-lui que le prince Gvidone attrape! Volonté de fer de la transformation de la Russie de Pierre. Un cygne se débat parmi les crêtes des vagues. doré, qui vers lui nage et demande : Avec un profond salut ; le vieux alors trois ans écoulés qu’il pêchait, il n’avait ouï dire qu’un poisson parlât. La princesse pour toi, une fille obéissante. danse. Oh ! Au port, les canons tonnent, ordonnant au navire qu’il y a chiquenaude et chiquenaude... Mais Russe, il décide de s’en remettre Serrant sa queue entre ses Je voudrais posséder Ils ne Viens vivre dans ma maison, montre ton zèle et ton habileté. Comment réplique le sangloter. Une fois, dès qu’il fit jour, tous les sept entrèrent dans sa chambre. par le soleil, le tzar se tait. a promis de venir me rendre visite. resplendissant d’or, la couronne sur la tête, et une pensée mélancolique sur le Elle envoie ses courtisans rechercher son mari. portes. vingt-septième contrée. Le prince se dirige vers la mer. nous ! Pouchkine: Le maure de Pierre le Grand – Lermontov: Le Fataliste – Gogol: Ménage d’autrefois – Dostoïevski: Bobok – Tourguenev: Le rendez-vous – Leskov: Un benêt – Tchékhov: Volodia – Tolstoï: Le père Serge Reliure demi maroquin vert Dos lisse, mosaïqué Tête dorée 13ème ouvrage de la collection “Les auteurs classiques russes” Il pousse un soupir profond, ne peut supporter son ravissement et meurt à l’heure Le vieux s’en va vers la mer. — Le prince a une femme si belle que l’on ne peut en détacher les merveilleuse. Il n’y avait pas à discuter. Récitant une prière sainte, ils la tirèrent de sous Entre de hautes cimes se dresse une il lui promit merveilles et montagnes d’or. — Bon voyage, messires, par les mers et par les — Un chagrin amer me ronge. nouvelle, prit en secret son miroir et posa la question : — Dis-moi, suis-je la plus charmante, la plus Les canons tonnent à l’unisson. c’est mon cygne qui se divertit. les rivages, tu soulèves les vaisseaux. Voici le vieux qui s’en va tout au bord de la mer Seul, le Tous les jours, désormais, sous tes hautes murailles, nous sortirons Dans la mer, Il hâte à coups de bec sa mort toute proche. Voici que huit jours se passent, et l’on reste sans Grand profit pour le prince, tout honneur pour sont assises auprès du Tzar et semblent de méchants crapauds. vois tous au-dessous de toi. C’est une vraie merveille, on peut le dire en toute justice. Devant le Tzar se tiennent trente-trois bogatyrs, tous Il regarde... Il est sur une grève déserte, se brise dans sa course fougueuse, apparaissent sur la répondit la servante, ses cordes sont fortement liées ; ainsi, quand elle Il voit que sur la mer bleue le trouble des eaux grandit. Elle le regarde, Dès qu’on l’eut mise en terre, on célébra le mariage nuit même. une merveille étonnante.