D'août 1941 à août 1944, le camp de Drancy a été le principal lieu d'internement avant déportation vers les camps d'extermination nazis, en particulier Auschwitz. It later became the major transit camp for the deportations of Jews from France. It later became the major transit camp for the deportations of Jews from France. Bien que désignée comme une « cité-jardin» par son maître d’ouvrage, la cité de la Muette est un premier « grand ensemble » français. Lors de cette rafle, la police française collaborant avec la Feldgendarmerie allemande, arrête tous les Juifs — hommes exclusivement — français et étrangers de 18 à 50 ans[2]. Until July 1, 1943, French police staffed the camp under the overall control of the German Security Police. Situé au nord-est de Paris, dans la ville de Drancy (alors dans le département de la Seine, aujourd'hui en Seine-Saint-Denis), ce camp est pendant trois ans le principal lieu d'internement avant déportation depuis la gare du Bourget (1942-1943) puis la gare de Bobigny (1943-1944) vers les camps d'extermination nazis, principalement Auschwitz. In July 1943 the Germans took direct control of the Drancy camp and SS officer Alois Brunner became camp commandant. The center’s mission is to present the history of the Drancy camp. Choix du site : un camp français fonctionnel, « pour les besoins des troupes d'occupation allemandes », « mais que toutes les conventions ont été faites verbalement entre le service central des cantonnements de l'Armée à Paris et le Préfet de la Seine », « […] profitant de l'absence de Dannecker, les médecins de la préfecture purent obtenir des autorités allemandes la libération de 750 Juifs en quelques jours, « […] le principe de la libération d'autres grands malades était acquis et 150 sur 300 prévus en profitèrent jusqu'au, « sous l'autorité directe des Allemands qui prononcent les internements et les libérations, et règlent par des instructions précises son régime intérieur ». En mai 1944, Louis Aragon écrivait que le nom de Drancy faisait "frémir les Français les plus impassibles d’apparence". Cette rafle est d'abord menée, le 20 août, dans le 11e arrondissement (Rafle du 20 août 1941), puis étendue, le 21, aux 10e, 18e, 19e et 20e arrondissements[2]. Elle est désormais identifiée sous le nom de « camp de Drancy ». D'août 1941 à août 1944, le camp d'internement de Drancy ou camp de Drancy a été la plaque tournante de la politique de déportation antisémite en France. 1989 : création de l'association du Conservatoire historique du camp de Drancy. : ce cri retentit au Camp de Drancy le 17 août 1944, lorsque le S.S. Aloïs Brünner prend la fuite. Ils sont graciés et relevés de l'indignité nationale au bout d'un an. Les travaux récemment menés sur la cité de la Muette à Drancy, ensemble HLM devenu camp de concentration et de transit des Juifs de France, constituent de ce point de vue un exemple intéressant du dialogue qui peut se nouer entre archéologues et historiens. Le camp dinternement de Drancy est un camp, situé au nord-est de Paris (alors dans le département de la Seine, aujourd'hui dans celui de la Seine-Saint-Denis), où furent rassemblés les juifs vivant en France avant leur déportation depuis la gare du Bourget (1942-1943) et de la gare de Bobigny (1943-1944), puis après 1944, les Français accusés de collaboration dont Sacha Guitry et Mary Marquet. Les couples sans enfants et les célibataires sont amenés à Drancy. Neuf Juifs déportés de France sur dix passent par le camp de Drancy lors de la Shoah. Le 14 décembre 1941 — ou le 12, selon une note du cabinet du préfet de police de Paris (source PPO)[source insuffisante] —, 47 internés de Drancy sont emmenés au Mont-Valérien où ils sont fusillés le lendemain avec d'autres otages, des communistes. Il est âgé de 53 ans,. Abraham Drucker, médecin chef du camp, qui a été interné à Drancy durant une très longue période dit de lui : « Ce Brunner était chargé de la répression contre les Juifs en France, et aurait acquis une certaine notoriété par ses méthodes machiavéliques et brutales en Europe centrale (Salonique – Autriche). Sa dernière adresse est au 178 rue de Crimée dans le 19e arrondissement de Paris, déporté par le Convoi No. Maurice Rajsfus, auteur de l'ouvrage Drancy un camp de concentration très ordinaire, y ajoute : Le camp est utilisé durant l'Epuration comme lieu d'internement, dirigé par les FTP. Pour compléter le mémorial de la Shoah de la rue Geoffroy-l'Asnier dans le 4e arrondissement de Paris, il a été fait appel aux architectes suisses Diener et Diener pour concevoir un nouveau lieu d’histoire et d’éducation présentant le passé du camp d’internement[17]. Le camp de Drancy était gardé par des gendarmes français, installés dans les « gratte-ciels » derrière le bâtiment en U où étaient internés les prisonniers. Le Mémorial de la Shoa à Drancy ouvre ses portes ce 23 septembre. 5 « Dans les wagons. Ce dernier a sous ses ordres la gendarmerie et les services du ravitaillement de la préfecture de la Seine. Papier, 22 x 30 cm. En réalité, le camp est « sous l'autorité directe des Allemands qui prononcent les internements et les libérations, et règlent par des instructions précises son régime intérieur », indique en mai 1942 une note de l'inspecteur général de la Santé et de l'Assistance Eugène Aujaleu. The Swedish Consul-General Raoul Nordling took over the camp on August 17 and asked the French Red Cross to care for the 1,500 prisoners remaining in Drancy. Jusqu'en juillet 1943, ces convois étaient escortés de militaires allemands et de gendarmes français. Among these sites was the Drancy transit camp in France. Find topics of interest and explore encyclopedia content related to those topics, Find articles, photos, maps, films, and more listed alphabetically, Recommended resources and topics if you have limited time to teach about the Holocaust, Explore the ID Cards to learn more about personal experiences during the Holocaust. Aujourd'hui, sur le site du camp par lequel sont passés 84 % des déportés juifs de France, une cité HLM côtoie un wagon et une statue monumentale, en vis-à-vis d'un musée-mémorial de la Shoah. Les derniers événements du chapitre nous montrent encore une fois les capabilités de Cadin comme un bon inspecteur. 70 years after the start of the deportation of the Jews of France towards nazi extermination camps, the Shoah Memorial inaugurated in September 2012 at Drancy, a new space destined for the history and education of the period, opposite the Cité de la Muette. À tout juste quelques kilomètres de Paris, c'est là que se trouve le plus haut lieu de la déportation en France. En novembre 1941, 750 à 800 internés malades sont libérés. The project came about on the initiative and thanks to the financial support of the Foundation for the Memory of the Shoah. Approximately 70,000 prisoners passed through Drancy between August 1941 and August 1944. En savoir plus. 65,000 Jews were deported from Drancy, of whom 63,000 were murdered including 6,000 children.Only 2,000 remained alive when Allied forces liberated the camp on 17 August 1944. Mais quand Simon Coencas m’a parlé du camp de Drancy, de la mort de ses parents à Auschwitz, mon regard s’est nuancé et enrichi. Les sorties du Camp de Drancy commencent officiellement le vendredi 18 et se terminent le dimanche. Serge Klarsfeld le soulignait en 2004 : « Drancy est le lieu le plus connu dans le monde entier de la mémoire de la Shoah en France : dans la crypte de Yad Vashem (Jérusalem) où sont gravés dans la pierre les lieux les plus notoires de concentration et d'extermination des Juifs, Drancy est le seul lieu de mémoire français à figurer[14]. Drancy. Heinz Röthke (ou Roethke parfois en graphie française) a été moins présent dans le camp, mais c'est sous sa direction, d'août 1942 à juin 1943, que près des deux tiers de l'effectif total déporté du camp, environ 40 000 Juifs, sont envoyés à Auschwitz. L'édifice dans lequel le camp fut établi, était en cours de construction (seul le gros œuvre était achevé). Les loyers élevés, l’enclavement, les malfaçons découragent les familles. Washington, DC 20024-2126 Merci de mettre à jour votre navigateur et de rafraichir la page. » « […] le principe de la libération d'autres grands malades était acquis et 150 sur 300 prévus en profitèrent jusqu'au 12 novembre[5]. TTY: 202.488.0406, United States Holocaust Memorial Museum, Washington, DC, Holocaust Survivors and Victims Resource Center. Altogether, between that first transport and the last, on July 31, 1944, 64,759 Jews were deported from Drancy in 64 transports. 4 230 hommes dont 1 500 Français, raflés à Paris entre le 20 et le 25 août, sont les premiers internés juifs du camp de Drancy. Five subcamps, used primarily as warehouses for personal property confiscated from Jews, were located throughout Paris at. One-third of the Jews deported from Drancy were French citizens. Le 22, s'ajoutent les 3e, 4e et 12e arrondissements et le 23, les 1er, 5e, 6e, 9e, 13e, et 17e[2]. Main telephone: 202.488.0400 Jusqu'en mars 1942, le camp sert de réservoir d'otages de représailles. Les 21 convois de déportation de Drancy partis du 18 juillet 1943 au 17 août 1944 sont partis de la gare de Bobigny (Grande Ceinture). dép. We would like to thank The Crown and Goodman Family and the Abe and Ida Cooper Foundation for supporting the ongoing Une instruction pour intelligence avec l'ennemi est ouverte contre 15 gendarmes, dont 10 sont renvoyés devant la Cour de justice de la Seine, inculpés d'atteinte à la sûreté extérieure de l'État. Except for a small number of prisoners (mostly members of the French resistance), the overwhelming majority were Jews. Situé au nord-est de Paris, dans la ville de Drancy (alors dans le département de la Seine, aujourd'hui en Seine-Saint-Denis), ce camp est pendant trois ans le principal lieu d'internement avant déportation depuis la gare du Bourget (1942-1943) puis la gare de Bobigny (1943-1944) vers les camps d'extermination nazis, principalement Auschwitz. 63 000 sont partis de Drancy. Le capitaine SS Brunner, commandant du camp, prend la fuite. Au total, de 1942 à 1944, une soixantaine de convois français de déportés juifs sont partis de Drancy, d'où son surnom d'« antichambre de la mort ». Neuf Juifsdéporté… During the summer of 1942, the Germans began systematic deportations of Jews from Drancy to killing centers in occupied Poland. Moins de 2 000 des déportés de Drancy sont revenus, soit à peine 3 %. Ce jour là, le consul de Suède Raoul Nordling, muni d'un document émanant de l'État-major du général von Choltitz, entre dans le camp de Drancy avec des représentants de la Croix-Rouge. Selon le décompte de Serge Klarsfeld et des FFDJF (Fils et filles des déportés juifs de France), 40 450 déportés sont partis de la gare du Bourget-Drancy et 22 450 de la gare de Bobigny. Les 42 convois de déportation de Drancy partis du 27 mars 1942 au 23 juin 1943 sont partis de la gare du Bourget-Drancy (réseau Nord). Elle continue le 24 août. Son fonctionnement était sous le contrôle du Service des affaires juives de la Gestapo. Aujourd’hui, il est estimé à environ 76 000, dont 3,5 % ont survécu. Le troisième chef du camp a été Alois Brunner, formé par Adolf Eichmann au Bureau central de l'émigration juive à Vienne. Aujourd’hui très sollicité, le coach sportif répond aux besoins grandissants des Français de plus en plus soucieux de leur bien-être. 13 152 Juifs, en majorité des femmes et des enfants, sont arrêtés les 16-17 juillet 1942. 58 de ces convois sont partis vers Auschwitz-Birkenau, deux vers Majdanek, deux pour Sobibor et un pour Kaunas et Tallinn. The Germans also deported 3,753 Jews from Drancy to the Sobibor killing center. Après la guerre, Drancy n’a pas disparu : y étaient incarcérées les personnes suspectées de collaboration. Celui-ci, construit entre 1931 et 1934, comportait, en outre, cinq tours de quinze étages chacune, ainsi que plusieurs bâtiments sous forme de barres implantées en peigne, composées de trois et quatre étages. The Drancy camp, named after the northeastern suburb of Paris in which it was located, was established by the Germans in August 1941 as an internment camp for foreign Jews in France. Pendant ses trois années d'existence, le camp de Drancy a été sous les directions successives de Theodor Dannecker jusqu'en juillet 1942, Heinz Röthke jusqu'en juin 1943 et Alois Brunner à partir de juillet 1943. Le camp de Drancy – hier et aujourd’hui . Lycée Eugène Delacroix (avec la collaboration du Centre de documentation juive contemporaine), « Mémoire : la rafle méconnue du 20 août 1941 à Paris », Témoignage remis aux autorités alliées en 1946, « Swtatiskas painted on French memorial », Drancy dernière étape avant l'abîme (documentaire), Convois de la déportation des Juifs de France, Conservatoire historique du camp de Drancy, La stratigraphie complexe du camp de Drancy de Benoît Pouvreau, Centre de documentation juive contemporaine, Lois sur le statut des Juifs du régime de Vichy, Chronologie de la collaboration dans la Shoah, Collaboration policière sous le régime de Vichy, Fils et filles de déportés juifs de France, Portail de la culture juive et du judaïsme, Portail des monuments historiques français, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Camp_de_Drancy&oldid=176845043, Camp de prisonniers de la Seconde Guerre mondiale, Collaboration en France pendant la Seconde Guerre mondiale, Histoire des Juifs sous le régime de Vichy, Monument historique dans la Seine-Saint-Denis, Édifice labellisé « Patrimoine du XXe siècle » dans la Seine-Saint-Denis, Page avec coordonnées similaires sur Wikidata, Article contenant un appel à traduction en allemand, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Seconde Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Monuments historiques/Articles liés, Portail:Protection du patrimoine/Articles liés, Portail:Architecture et urbanisme/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 1976 : après un concours international, un mémorial est construit à Drancy par. Certains des Juifs arrêtés sont directement emmenés par autobus au camp de Drancy. « était un psychopathe violent […]. Estampe de Georges Horan n° 55. Barbed wire surrounded the building and its courtyard. 62, en date du 20 novembre 1943, du Camp de Drancy vers Auschwitz. L’archéologie des camps de la Seconde Guerre mondiale est encore peu développée en France. Dans quelles conditions ?" Occupé par les troupes allemandes en juin 1940, la cité de la Muette sert de camp d’internement pour des prisonniers de guerre et des civils étrangers. À partir de 1942 et du tournant de l'Allemagne nazie vers la Solution finale, Drancy passe du statut de camp d'internement à celui de camp de transit, et constitue la dernière étape avant la déportation vers les camps d'extermination. Le camp d'internement de Drancy a été installé en octobre 1939, dans un vaste bâtiment formant un U du quartier d'habitation HBM, dit la « cité de la Muette », conçu par les architectes Marcel Lods et Eugène Beaudouin. Le « fer à cheval » se prête facilement à la transformation en camp d’interne… Drancy a connu les heures les plus sombres de son histoire au XXe siècle, avec la présence du principal camp d’internement de la Shoah en France, au cœur de la seconde guerre mondiale. Toute la météo de la ville de Drancy (93700) pour aujourd'hui et sur 10 jours en direct : quel temps va-t-il faire, y aura-t-il du soleil ou de la pluie ? En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies, ce qui nous permet de vous proposer des contenus adaptés à vos centres d'intérêts. enquete Drancy-Auschwitz: des rescapées racontent leur voyage vers l'enfer Ernst Tremmel, 92 ans, un ancien gardien du camp de la mort, devrait être jugé en 2016 par un tribunal allemand. Between 1933 and 1945, Nazi Germany and its allies established more than 44,000 camps and other incarceration sites (including ghettos). Les sept autres plaident l'obéissance aux ordres reçus, malgré de nombreux témoignages de brutalité par des rescapés. » Au total 1 200 internés déficients furent libérés[5]. Le camp d'internement de Drancy ou camp de Drancy est la plaque tournante de la politique de déportation antisémite en France d'août 1941 à août 1944. Le souvenir de cette date est maintenu notamment au travers de plusieurs noms de voies et places en France. En juillet 1940, l’ensemble est réquisitionné par la Wehrmacht. Ce dernier convoi, le 17 août 1944 — une semaine avant la libération de Paris —, permit à Alois Brunner et ses SS de fuir, en emmenant avec eux 51 déportés, dont Marcel Bloch, futur Marcel Dassault. Pour trouver une pharmacie de garde à Drancy 93700ouverte aujourd'hui en dehors des horaires d'ouverture habituels (9h - 19h30), Dimanche, jours fériés ou le soir (après 21h), vous pouvez contacter notre service qui sera habilité à vous répondre en cliquant sur le bouton "obtenir les coordonnées" pour obtenir le numéro de téléphone de la pharmacie de garde à Drancy. Pierre Laval décide de collaborer à la rafle en confiant son exécution à la police française. Internment and Transit Camp The Drancy camp, named after the northeastern suburb of Paris in which it was located, was established by the Germans in August 1941 as an internment camp for foreign Jews in France. Others were foreign-born Jews who had immigrated to France in the 1920s and 1930s, primarily from Poland, Germany, and, after 1938, Austria. Elle représente à elle seule 18,8 % de la population de la France métropol Comportant quatre étages, il était bâti autour d'une cour d'environ 200 mètres de long et 40 mètres de large. Lors de la grande rafle du Vel d'hiv', commencée le 16 juillet 1942, la police française arrête près de 13 000 personnes[2]. Le camp est d'abord un lieu d'internement, dans des conditions délibérément durcies, la sous-alimentation entraîne rapidement la dysenterie, une partie des gendarmes français brutalisent les internés et multiplient les sanctions arbitraires et humiliations (tontes des cheveux, amendes…)[3], etc. C’est sous leur impulsion que la Préfecture de police y crée le 20 août 1941 un camp destiné aux Juifs. Seuls deux sont condamnés à de la prison ferme — deux ans — et à l'Indignité nationale pour cinq ans. Né le 5 août 1890 à Constantinople (Empire ottoman), aujourd'hui Istanbul (Turquie). L’expression est d’ailleurs inventée par la critique architecturale (Maurice Rotival-1935) à l’occasion notamment de la construction de cette opération de logements social considérée comme exemplaire. Le 27 août 1941, à l'issue d'une réunion entre représentants des autorités d'occupation — Theodor Dannecker — et des autorités françaises, le camp est placé sous la responsabilité du préfet de police. Quand le camp de Drancy est-il libéré ? Du 20 au 24 août 1941, une grande rafle a lieu à Paris[2]. Ils sont aujourd'hui toujours un grand ensemble d'habitation. Situé au nord-est de Paris, dans la ville de Drancy (alors dans le département de la Seine, aujourd'hui en Seine-Saint-Denis), ce camp a été pendant trois ans le principal lieu d'internement avant déportation depuis la gare du Bourget (1942-1943) puis la gare de Bobigny (1943-1944) vers les camps d'extermination nazis, principalement Auschwitz. Les logements des officiers de la caserne de Drancy sont remis à leur disposition le 15 octobre 1941. La dernière modification de cette page a été faite le 22 novembre 2020 à 01:37. Arch. Après leur arrestation par la Gestapo et Klaus Barbie le 6 avril 1944, les enfants d'Izieu furent envoyés à Drancy avant d'être déportés et assassinés à Auschwitz. Fewer than 2,000 of the almost 65,000 Jews deported from the Drancy camp survived the Holocaust. En mai 1944, Louis Aragon écrivait que le nom de Drancy faisait « frémir les Français les plus impassibles d’apparence ». Aujourd’hui, sur le site du camp par lequel sont passés 84 % des déportés juifs de France, une cité HLM côtoie un wagon et une statue monumentale, en vis … Drancy internment camp From Wikipedia, the free encyclopedia Drancy was an assembly and detention camp for confining Jews who were later deported to the extermination camps during the German military administration of Occupied France during World War II. Jusqu'au 17 août 1944, le camp fonctionne comme lieu principal de rassemblement et de déportation.